Guevara + che
Catégorie
PeintureTechnique
Acrylique et gouache sur papier d'art épaisDate
2004Dimensions
167 cm x 117 cmInformations sur l’œuvre
Catégorie
PeintureTechnique
Acrylique et gouache sur papier d'art épaisDate
2004Dimensions
167 cm x 117 cmSignature
Signée en bas à droiteJustificatif(s) d’authenticité
Certificat d'authenticité délivré par LaPiscine GalerieÉtat de conservation
Très bonEncadrement
OuiLocalisation
Toulouse, FranceDescription
Avis aux amateurs du Che Guevara !
Voici une technique mixte sur papier fort de Bernard Rancillac exécutée en 2004. Cette peinture sur papier est signée en bas à droite.
Cette œuvre est vendue dans un cadre en bois clair et sous verre. Dimensions hors cadre : 158,5 x 109 cm - Dimensions avec cadre : 167 x 117 cm.
L'artiste
Biographie
Bernard Rancillac est peintre et sculpteur français né le 29 août 1931 à Paris. Il vit et travaille en région parisienne.
Il est l’aîné d’une fratrie de cinq. L’un de ses frères était sculpteur sous le pseudonyme de Jean-Jules Chasse-Pot.
Bernard Rancillac passe sa petite enfance en Algérie jusqu’en 1937. Durant la Seconde Guerre mondiale, il se réfugie chez son père à Yssingeaux (Haute-Loire).
Après la guerre, il termine ses études au lycée Lakanal à Sceaux. En 1949, il se prépare au professorat de dessin à l’atelier de Met de Penninghen où il rencontre Bernard Aubertin.
En 1953, il effectue son service militaire à Meknès au Maroc. Sur place, une librairie expose ses premiers dessins. Dès son retour en France en 1955, il installe son premier atelier à Bourg-la-Reine. En parallèle, il exerce le métier d'instituteur.
De 1959 à 1962, il étudie la gravure à l’Atelier 17 de Stanley William Hayter (1901-1988). En 1961, il obtient le premier prix de peinture à la Biennale de Paris.
En 1967, il fait un séjour à La Havane. En mai 1968, il réalise des affiches à l’Atelier populaire des beaux-arts. Il contribue aux affiches murales et aux slogans de Mai 68.
En 1969, des rétrospectives de son œuvre ont déjà lieu : à Vitry-sur-Seine, à Saint-Étienne et à Brest.
« Tous les “événements” politiques m'impressionnent. Je l'ai découvert quand j'ai décidé de faire les toiles sur l'année 1966. J'ai compris alors que j'étais un animal politique, pas un chroniqueur mondain ! À l'origine de toute création artistique, il faut une émotion. Très souvent, chez moi, elle est de nature politique, même quand je peins des Mickey, des musiciens de jazz, des voitures ou des stars de cinéma. Le journaliste et le photographe sont plus présents sur l'événement et plus rapides en communication. Mais le peintre a le temps pour lui, le temps de s'enfoncer dans la chair du temps. Cela s'appelle l'histoire. » Bernard Rancillac en 1991.